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Son avocat assure que le sergent?"ne peut assumer seul la [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister france[/url] défaillance d'une cha?ne hiérarchique complètement carencée (...). Au CPIS, parce qu'on a des missions très particulières, les soldats doivent coller au maximum à la réalité. Il n'a fait que respecter les consignes. Renvoyer ce lampiste au tribunal, ce n'est pas très courageux."
Le tribunal examinera les circonstances de la mort, en mars 2009, sur le champ de tir d'Opoul,?de deux agents du service action affectés au Centre parachutiste d'instruction spécialisé (CPIS)?de Perpignan.
Jean Guisnel, blogueur spécialisé au Point,?à l'époque de donner l'identité des [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] deux victimes au procureur de Montpellier, qui [url=http://www.ktbruce.co.uk/mulberrysale.php]mulberry outlet[/url] avait ouvert une enquête pénale dans les heures suivant leur décès.
Les deux hommes étaient [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti sneakers[/url] restés en arrière entre la pose et le [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister[/url] déclenchement de [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister france[/url] l'explosif.?Le sergent Thomas Bouffard, militaire depuis 17 ans et bien noté avant sa mise en retraite précoce, est soup?onné d'avoir fait exploser la charge trop t?t, sans [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] ordre [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] de son chef et sans s'être assuré que tous les agents s'étaient bien mis à l'abri.
Deux autres militaires, un lieutenant-colonel et un commandant, témoins assistés pendant l'instruction, ont bénéficié d'un non lieu dans ce dossier.?Un non-lieu a également été accordé au sergent Bouffard pour?"violation de consigne par militaire", un chef de mise de [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] mise en [url=http://www.ufetech.com/bbs/home.php?mod=space&uid=211666][/url] examen qui avait été retenu à son encontre en même temps que celui d'homicides involontaires, a précisé à l'AFP une source judiciaire.
Un ancien sous-officier de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), le sergent Thomas Bouffard, 39 ans, est convoqué mercredi 17 octobre devant le tribunal correctionnel de Montpellier, où [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour jackets[/url] il devra répondre de deux "homicides involontaires",
"Il s’agit là d’une faute d’imprudence qui para?t énorme et inexplicable, de la part de professionnels expérimentés, de gens très s?rs d’eux dans [url=http://www.chenlongfans.com/home.php?mod=space&uid=96951][/url] une unité d’élite" indique le parquet de Montpellier au Midi [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] Libre. "Mais il n’y a pas de [url=http://www.nxluhu.com/guestbook.asp]giuseppe z[/url] passe-droits pour les forces spéciales : cet entra?nement s’est fait sous le régime commun des militaires."
Le soldat de 1re?classe Guillaume?Gras, un stagiaire de 22 ans, et son formateur, l'adjudant Nicolas?Poinot, 35 ans,?avaient été [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] tués par l'explosion de 10 kilos de plastic posés sur une voiture. Ils participaient à un?"exercice de sensibilisation aux effets de l'emploi de différentes charges d'explosif sur un véhicule". L'exercice faisait partie d'une formation aux?techniques de protection rapprochée.

cejy66vd · Posted: Thu 15:03, 24 Oct 2013 Post subject:

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