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De plus, l'Aeres pointe qu'en moyenne un quart des étudiants de première année des ENSA – pourtant d?ment sélectionnés mais sans obligation de posséder [url=http://www.bankonco.com/hollister.php]hollister france[/url] un bac S – échouent à entrer en seconde. Un taux qui monte à [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] 45% (à Lille) pour n’atteindre que 10% [url=http://sqhw.net/home.php?mod=space&uid=50461][/url] dans les écoles de Bordeaux et Bretagne. Un taux élevé mais largement comparable à celui d’autres filières sélectives comme les prépas par exemple. Pour autant, comme le souligne l’Aeres ??cela pose plus généralement la question du processus de recrutement, très sélectif, des ENSA et leur difficulté à réellement percevoir chez les candidats les aptitudes aux études d’architecture et la réalité du projet tant personnel que professionnel??. Et d’ajouter qu’???il est nécessaire que ces écoles développent une vraie stratégie de communication très en amont du recrutement??.
L’Agence d’évaluation de la recherche et de [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] l’enseignement supérieur (Aeres) a justement publié en juin dernier un sur les écoles nationales supérieures d’architecture, les ENSA. Son bilan est globalement positif?puisqu’elle constate qu’elles ont ??montré leur capacité à mener une réforme en profondeur qui traduit aujourd’hui dans les évaluations très positives des deux cursus principaux (DEEA et DEA) : une grande homogénéité des études, ainsi qu’une forte maturité des écoles, particulièrement au regard des attentes des cursus conférant le grade de master??. Les principaux points faibles selon l’Aeres?? D’abord l’absence d’accompagnement des étudiants sortant en cours de cursus et, ensuite, des dipl?més arrivés sur le marché du travail.
De la même fa?on, l’Aeres souligne le faible taux de réussite au DEEA en 3 ans, avec là aussi de fortes variations?: 33% à Montpellier pour 90% en Normandie. Pour de nombreuses écoles, le véritable taux de réussite au DEEA devrait d’ailleurs peut-être être mesuré sur quatre ans, se demande l’Aeres qui s’interroge sur [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] les écarts constatés entre les [url=http://www.bankonco.com/hollister.php]hollister[/url] écoles?: ??Dans un dispositif de formation qui a la possibilité de sélectionner ses étudiants, on peut s’étonner d’un taux de réussite en trois ans [url=http://www.byt168.com/bbs/forum.php?mod=viewthread&tid=126192]louboutin pas cher Mea culpa[/url] de 33 %. Les écoles dont les taux sont aussi faibles devraient interroger leur processus de recrutement, surtout [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] lorsque ce taux très faible s’accompagne d’une absence de processus d’aide à la réorientation des étudiants ne pouvant poursuivre au sein de l’école??.
Insertion professionnelle et international, des dossiers peu traités
L'Aeres accorde un satisfecit global
Alors que leur mise sous cotutelle du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche fait partie des 121 propositions des Assises (Proposition 82, ??Donner au Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche la cotutelle de tous les établissements d’enseignement [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] supérieur [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] et/ou de recherche (écoles d’architecture, école polytechnique, écoles sanitaires et sociales…??.), les 20 écoles d’architecture placées sous la tutelle du ministère de la Culture viennent de créer un Comité d'orientation de la concertation sur l'enseignement et la recherche [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]giubbotti peuterey[/url] en architecture. Vont-elles aller dans le sens?d’un rapprochement avec l’ensemble de l’enseignement supérieur ou cultiver leur différence ? Les débats risquent d’être houleux tant elles restent partagées entre tenants de l’architecture en tant qu’art et partisans d’un tournant vers l’ingénierie (voir par exemple le s architecte/ingénieur de l'Ecole centrale et l'école d'architecture de Lyon).
Selon l’Aeres, les écoles d’architecture sont encore loin d’avoir mis l’insertion professionnelle de leurs dipl?més au c?ur de leurs préoccupations?: ?? Les taux d’insertion professionnelle sont un [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] outil encore sous-exploité par les écoles. D’une part, celles-ci ne disposent pas réellement d’outils de suivi et, d’autre part, lorsque cet [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] outil existe, il ne semble pas être intégré dans une réflexion interne sur l’évolution des cursus??.
De la même fa?on, le statut de l’anglais n’est pas clairement défini dans les écoles. ??L’évaluation a mis en évidence une [url=http://bbs.198game.com/home.php?mod=space&uid=804827][/url] grande différence entre les écoles. Il est nécessaire que les tutelles proposent un cahier des charges plus précis, notamment sur la nécessité (ou non) de mener les étudiants à une certification reconnue??, indique l’Aeres, se demandant encore si l’anglais a ??réellement le statut de langue étrangère ou n’est-ce pas plut?t maintenant un outil indispensable de communication professionnelle ??? Et d’insister sur une ouverture internationale qui ??doit devenir une composante obligatoire d’un cursus professionnalisant [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] conduisant au grade de master??. Un satisfecit mais encore beaucoup de progrès à faire donc pour des écoles qui, si elles délivrent un dipl?me reconnu nationalement, le font encore selon des méthodes très hétérogènes.