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Il estime qu'un texte législatif respecte [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] l'autonomie des acteurs privés et ne prend pas le caractère d'une intervention étatique dans le fonctionnement du marché.
Cette "lex Google" fait depuis plusieurs mois l'objet d'une polémique acharnée [url=http://www.seekel.co.jp/cgi-bin/C-002/radio/visit/main.pl?PAGE_NUM=1%253E]barbour deutschland Six maire[/url] entre [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour pas cher soldes[/url] partis politiques. Les partis de gauche s'opposent au texte en l'état. Sur le principe, ils refusent toute intervention contre la liberté d' sur Internet.
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Le front européen des éditeurs contre le géant américain, formé en octobre 2012 avec les Allemands et les Italiens, n'a finalement pas tenu face aux logiques nationales.
"Les méthodes sont différentes, mais l'élément marquant est [url=http://www.sidegemeinde.com/peutereyoutlet.php]peuterey sito ufficiale[/url] le même, c'est que Google envisage désormais de de la valeur", insiste-t-on au Syndicat de la presse quotidienne nationale, représentant des patrons [url=http://www.fibmilano.it]woolrich[/url] de journaux nationaux.
Le projet de loi allemand sur le "droit à la protection des créations", défendu par [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister france[/url] la droite et les libéraux, est actuellement discuté en commission parlementaire. Il prévoit que les éditeurs de presse puissent négocier avec [url=http://www.marrakech-hotel.fr]hollister[/url] les et les agrégateurs de fil d'actualité une rétribution, en contrepartie du droit de des extraits de leurs articles, appelés "snippets".
Lundi 25 février, le projet de loi devrait de nouveau être discuté en commission parlementaire. Si le gouvernement décidait de passer le texte en force, [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] celui-ci pourrait être bloqué à différents niveaux, notamment à la Chambre Haute, le Bundesrat, où les sociaux-démocrates sont majoritaires. Au SPD, certains parlementaires estiment que le sujet pourrait même un thème de [url=http://www.seekel.co.jp/cgi-bin/C-002/radio/visit/main.pl?PAGE_NUM=1%25253E]woolrich outlet LAfrique du S[/url] campagne.
Dans la pratique, ils font notamment que la rétribution serait captée avant tout par les grands groupes de presse, au détriment des petits éditeurs. Ils estiment également que la législation sur le est suffisante [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] pour protéger les éditeurs.
, le 1er février, n'a pas mécontenté les éditeurs allemands. Pourtant, les Fran?ais ont fait cavalier seul, obtenant 60 millions d'euros après négocié avec le moteur de recherche (Le Monde du 4 février).
De leur c?té, les éditeurs allemands se gardent de [url=http://park19.wakwak.com/~takeda-kazu/cgi-bin/bbs/aska.cgi?res=24185]abercrombie pas cher Aucun ho[/url] leurs [url=http://www.riad-marrakesh.fr]abercrombie pas cher[/url] homologues d'outre-Rhin. Christoph Keese, [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] lobbyiste pour et [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] porte-parole des éditeurs, a même qualifié l'accord fran?ais de "succès".
Sur le fond, le lobbyiste maintient cependant qu'un projet de loi reste plus adapté, car il respecte la tradition légaliste et libérale allemande. "Ce n'est pas le r?le d'un président d' un accord économique entre ", insiste-t-il.
POL?MIQUE ACHARN?E