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barbour.co.uk Dans les cuisines de la politique fa

 
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cejy66vd



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PostPosted: Tue 11:31, 22 Oct 2013    Post subject: barbour.co.uk Dans les cuisines de la politique fa

Les "familialistes", qui ont une vision traditionnelle du foyer, peuvent se prévaloir d'une longue histoire : lorsque la politique familiale est née, au milieu du XXe siècle, elle privilégiait avant tout les familles nombreuses. La France était alors traumatisée par la forte dénatalité des années 1930 : à la veille de la seconde guerre mondiale, alors que la fécondité allemande se redressait, la France enregistrait à peine 650 000 naissances, contre un million en 1868. "Qu'adviendra-t-il de notre pays si cette cadence se maintient ?, s'inquiétait Pierre de Biéville, en 1937, dans un article de [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour.co.uk[/url] l'encyclopédie Larousse. Un pays riche et dépeuplé ne peut qu'être l'objet des convoitises de voisins surpeuplés."
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En matière de garde d'enfants, la séduisante bannière du "libre choix" masque, elle aussi, des politiques contradictoires. En distribuant largement des allocations parentales, la France encourage les femmes à le marché du travail. Mais elle construit aussi des crèches, qui leur permettent de leur activité professionnelle. "Il est normal que les politiques publiques poursuivent plusieurs ambitions, mais là, l'incohérence est très forte, constate le sociologue Julien Damon. La France oscille entre un modèle familialiste qui privilégie les familles nombreuses, un modèle libéral qui cible les aides vers les plus pauvres et un modèle -démocrate qui insiste sur la réduction des inégalités."
Pour ces questions, il conviendrait de un cap. "La plupart des pays européens affichent des objectifs clairs, [url=&mode=resmsg]jordan pas cher Quelles image[/url] souligne Olivier Thévenon, de l'INED. L' a longtemps privilégié le modèle de la mère au foyer ; l'Angleterre concentre ses efforts sur les familles les plus vulnérables, au nom de la lutte contre la pauvreté des enfants ; la permet aux parents de s' de leur enfant la première année, puis propose un bon système de crèche. La France, elle, hésite et cherche en permanence des compromis." Le débat actuel sera-t-il l'occasion de enfin, à la [url=http://www.ktbruce.co.uk/mulberrysale.php]mulberry sale[/url] politique familiale, une orientation claire ?
UN PAYSAGE CONFUS DIFFICILE ? R?FORMER
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Le problème, c'est qu'ils ont tous raison. Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, la politique familiale n'a cessé de , année après année, les dispositifs les plus variés, et, parfois, les plus contradictoires. La générosité de cette politique (qui représente plus de 4 % du PIB) joue sans doute un r?le décisif pour la vigueur de la natalité, mais sa ligne directrice para?t floue : elle est à la [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] fois nataliste et redistributive, "familialiste" et sociale. "Elle est devenue un véritable mille-feuille", soupire , directrice de recherche honoraire au CNRS.
Pour cette lancinante inquiétude, la France met en place une politique fortement nataliste qui repose sur deux piliers : les allocations familiales, généralisées en 1938, et le quotient familial, apparu en 1945. "La France a en mémoire la saignée de la première guerre mondiale et la dénatalité des années 1930 : elle veut des bras et des soldats pour la France", résume Julien Damon, professeur associé à Po. Pour les familles nombreuses, le dispositif salue le troisième enfant d'une prime conséquente : sa naissance provoque une nette augmentation des allocations [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] et du quotient familial.
1930 : LA FRANCE VEUT "DES BRAS ET DES SOLDATS"
Les années passent, le baby-boom de l'après-guerre montre que la dénatalité n'est plus une menace, mais la tradition familialiste se maintient envers et contre tout. Aujourd'hui encore, la France continue à les familles nombreuses en refusant [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] les allocations pour le premier enfant. Cette politique, qui semble évidente aux yeux des Fran?ais, n'est suivie par aucun autre pays européen : partout ailleurs, les aides sont accordées dès la première naissance. Pour ces Etats, il faut les parents en compensant le co?t de l'enfant, pas forcément les familles à en toujours plus.
?1970 : LA POLITIQUE FAMILIALE ACQUIERT UNE DIMENSION SOCIALE
La crise économique a [url=http://www.xsj-school.cn/1/E_GuestBook.asp]louboutin[/url] aggravé cette confusion politique. "Depuis les années 1980, la politique familiale est instrumentalisée par les politiques de l', ajoute Jeanne Fagnani. Le discours officiel a continué d'évoquer le des familles, mais beaucoup de décisions ont en fait été guidées par des préoccupations économiques. En [url=http://www.ktbruce.co.uk/hollisteroutlet.php]hollister[/url] 1994, quand le gouvernement d'Edouard Balladur a étendu [url=http://www.fibmilano.it]woolrich outlet[/url] l'allocation parentale d'éducation aux mères de deux enfants, il affirmait ainsi au nom de la liberté de choix, alors qu'il voulait surtout le taux de ch?mage officiel."
La France décide alors de une dimension redistributive à la politique familiale en pla?ant certaines aides sous conditions de ressources. Elle ajoute ainsi à la solidarité horizontale un zeste de solidarité verticale. Avec l'entrée massive des femmes dans le salariat, à des années 1970, l'Etat complète le dispositif en finan?ant des congés parentaux, mais aussi des crèches. "En 1982, quand les enfants dotés d'une mère active sont devenus majoritaires, il n'y avait quasiment aucun système d'accueil pour les moins de 3 ans !, rappelle Julien Damon. Ce problème est devenu une question publique majeure dans les années 1980 : l'Etat et la Caisse nationale des allocations familiales ont alors commencé à créer des prestations et à les crèches."
Tant que la France était prospère, le "mille-feuille" de la politique familiale ne gênait personne. Mais, avec la crise, les gouvernements doivent réduire les déficits publics, et donc des priorités. Faut-il à privilégier l'approche familialiste de l'après-guerre ou considérer qu'il vaudrait mieux, en raison de la bonne santé de la fécondité fran?aise, les aides sur les plus démunis ? Faut-il à des congés parentaux qui éloignent les femmes du marché du travail alors qu'elles affirment, dans toutes les enquêtes, préférer des crèches ?
Pendant les "trente glorieuses", cette obsession nataliste gouverne toutes les politiques familiales. La solidarité "verticale", qui consiste à réduire les inégalités entre familles riches et pauvres gr?ce à la redistribution, n'est pas à l'ordre du jour : les gouvernements lui préfèrent la solidarité "horizontale", qui tente de le niveau de vie des familles avec enfants de celui des familles qui n'en ont pas. Le quotient familial [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] et les allocations permettent ainsi à une famille d'employés de trois enfants d' le même niveau de vie qu'une d'employés sans progéniture, mais pas de leur niveau de vie se de celui des familles aisées.

Ces ambigu?tés sont connues depuis des années, mais aucun gouvernement n'a encore osé y . "La politique familiale est prisonnière de groupes de pression qui ont des objectifs contraires : certains sont familialistes, d'autres insistent sur la question de la redistribution, d'autres encore sur l'égalité hommes-femmes, explique Jeanne Fagnani. Les gouvernements doivent avec ce paysage complexe et ils ont beaucoup de mal à leurs ambitions. Du coup, ils créent sans cesse de nouveaux dispositifs sans les anciens. Au fil des décennies, on a donc superposé des systèmes datant d'époques différentes qui poursuivent des objectifs différents."
familiale fran?aise n'a pas de finalité sociale : peu importe que les milieux aisés soient largement favorisés, ce qui compte, affirment-ils, c'est d' la natalité. Ceux qui envisagent une baisse des allocations pour les ménages les plus riches leur rétorquent, tout aussi [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] affirmatifs, que le modèle fran?ais intègre bel et bien une ambition redistributive.
Familialisme contre redistribution, solidarité verticale contre solidarité horizontale, crèches contre congés parentaux... Ces incohérences ont forcément produit des contradictions. La solidarité horizontale nuit ainsi fortement à la solidarité verticale : alors que les aides sous conditions de ressources tentent de du d'achat vers le bas de l'échelle sociale, le quotient familial offre, au contraire, un joli coup de pouce aux parents les plus riches. En accordant des parts supplémentaires aux familles lors du calcul de l', il concentre plus de 40 % de la somme que constitue cet énorme avantage fiscal sur les 10 % de foyers les plus aisés. Sans se préoccuper des familles non imposables – environ la moitié des ménages fran?ais –, qui ne bénéficient d'aucun avantage fiscal au de leurs enfants.
APR?S-GUERRE : LA NATALIT? N'EST PAS EN DANGER MAIS LA TRADITION NATALISTE PERDURE
AUJOURD'HUI : UN SYST?ME P?TRI DE CONTRADICTIONS
Dans les années 1970, où la fécondité fran?aise affiche une belle [url=http://bbs.zgnt.net/home.php?mod=space&uid=589073][/url] santé, le souci nataliste appara?t cependant de plus en plus désuet. "Plusieurs [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti soldes[/url] mouvements de pensée insistent alors sur la dimension sociale de la politique familiale, explique Olivier Thévenon, chercheur à l'Institut national d'études démographiques (INED). Au nom de l'égalité des chances, il faut, selon eux, l'accent sur les familles les plus vulnérables afin de protéger leurs enfants de l'échec scolaire ou de la précarité. Ils pensent notamment aux familles monoparentales - les séparations commencent à - mais aussi aux familles [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] pauvres - la crise et le ch?mage de masse s'annoncent."


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