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L'opération confirme l'accélération du mouvement de concentration dans le secteur de l'électricité, où Exelon avait fait trois tentatives infructueuses depuis 2003. En janvier, Duke Energy a annoncé qu'il payerait 25,5 milliards de dollars pour Progress Energy. Mi-avril, AES Corp. s'est dit prêt à acquérir DPL Inc. pour 3,5 milliards de dollars. Des fusions, plus modestes, ont jalonné l'année 2010. Le nombre de producteurs d'électricité cotés en Bourse a baissé de 41 % entre 1995 et 2009, selon l'institut Electric [url=http://www.zjhq.org/forum.php?mod=viewthread&tid=121494]hollister france Espagne la récession saggrave au deuxième trimestre[/url] Edison.
Depuis des décennies, le secteur de l'électricité souffre d'un manque chronique d'investissement alors que la demande progresse aux Etats-Unis. A cela s'ajoutent des contraintes environnementales plus fortes qui alourdiront le co?t des projets. Les plus grands producteurs américains pèsent entre un tiers et la moitié de géants comme EDF, GDF Suez, l'allemand E. ON ou l'italien Enel. Les fusions ont donc un sens industriel sur un marché comptant [url=http://www.achbanker.com/homes.php]www.achbanker.com/homes.php[/url] surtout des acteurs régionaux incapables d' des centaines de millions, des milliards de dollars dans leur outil industriel.
à son compatriote Exelon pour 7,9 milliards de dollars (5,3 milliards d'euros). [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] L'opération, annoncée jeudi 28 avril, donnera naissance à un groupe pesant 34 milliards de dollars en , qui conservera le nom d'Exelon et son siège de Chicago. Ce sera le premier exploitant de centrales nucléaires aux Etats-Unis avec 19 réacteurs (19 000 mégawatts). Et l'un des moins émetteurs de CO2 gr?ce [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] à un parc de production dans lequel le représente 55 %, le gaz 24 % et les énergies renouvelables (hydraulique, éolien...) 8 %.
Le PDG d'Exelon, John W. Rowe, qui laissera sa place à son numéro 2 après la fusion, le reconnaissait dès 2010 : "Je ne pense pas que le nucléaire ait sa chance dans un pur marché sans un prix du CO2", qui accro?t la compétitivité [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] de l'atome face au charbon et au gaz. Les dirigeants d'EDF eux-mêmes, à la recherche d'un nouveau partenaire américain, ont mis leurs projets entre parenthèses. Exelon sait qu'il est moins co?teux d'acquérir des réacteurs que de les . Si elle est approuvée par les autorités de régulation américaines, la fusion permettra à Exelon d'accro?tre à bon compte un parc de centrales qui, amorti, génère d'importants revenus.
L'absorption de Constellation par Exelon ne signe pas, pour autant, une relance de la filière nucléaire [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] aux Etats-Unis. [url=http://t.ybmanhua.com/discussion/28906/moncler-sito-ufficiale-dans-les-archives-du-monde-8-juillet-1989-et-7-septem]moncler sito ufficiale Dans les archives du Monde 8 juillet 1989 et 7 septem[/url] De l'avis de nombreux experts, elle est condamnée à un long hiver, moins imputable à la catastrophe de Fukushima qu'à la concurrence d'un gaz naturel bon marché rendant incertaine la rentabilité du nucléaire. Surtout dans les Etats, les plus nombreux, où le marché de l'électricité dérégulé accro?t le risque de tels investissements.
EDF surveille l'affaire de près, puisqu'il détient 7,23 % de Constellation. Le groupe fran?ais a prévenu qu'il "étudie les termes de l'offre et la valorisation induite de [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] ses actifs ainsi que ses options, comme le ferait tout actionnaire vigilant". Il sera également "attentif à la préservation de ses intérêts" [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] au sein de [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] la co-entreprise créée en 2009 après le rachat de 49,9 % des actifs nucléaires [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] de Constellation (5 réacteurs) pour 4,5 milliards - un prix très élevé par rapport à la valeur actuelle de l'entreprise.
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Ce n'est pas l'affaire d'Exelon. [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] "Le nouveau groupe aura la taille et la puissance financière pour son développement sur les marchés concurrentiels de l'énergie et [url=http://www4.kiwi-us.com/~tomo_k/img/joyful.cgi]moncler outlet Un original au[/url] réaliser de nouveaux investissements dans la prochaine vague de la production d'énergie propre et durable", a résumé Mayo A. Shattuck, PDG de Constellation, dont l'entreprise avait frisé [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] la faillite en 2008. Face à [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] des risques financiers dans le nucléaire trop importants pour son groupe, il a renoncé en 2010 à dans quatre nouveaux réacteurs EPR avec EDF.