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L'autre particularité du film de , c'est la manière dont il témoigne de la transformation définitive d'une certaine manière de certains films à Hollywood, tout en [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] confirmant les influences souterraines et lointaines du blockbuster d'action.
Les films d'action sont eux-mêmes devenus de gigantesques dessins animés dans lesquels les exploits les plus déments sont désormais possibles quoiqu'immatériels. La franchise Die Hard a désormais fusionné avec ce qui lui servit de référence primitive.
Le scénario des [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] retrouvailles entre père et fils mêlent ainsi aux conventions du film d'action les ressorts psychologiques de la transmission intergénérationnelle et de [url=http://www.gsqyznsz.com/clgaoke_GuestBook.asp]barbour uk[/url] la reconnaissance réciproque, ressort de multiples comédies dramatiques, mêlés ici, jusqu'à la farce, à des péripéties violentes et des répliques spirituellement bas de plafond.
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Celui-ci, loin d'être le délinquant qu'imagine son géniteur est en fait un super espion de la CIA qui cherche à protéger un milliardaire embastillé en possession de documents de la plus haute importance. John McLane devra, malgré lui, lui prêter main forte. Les circonvolutions du récit prendront la forme d'une poursuite en voiture dans les rues de Moscou, d'un combat avec un hélicoptère sur le site désaffectée de la centrale de Tchernobyl (oui, rien que ?a !) et de diverses fusillades et coups de poings entrecoupés de bons mots plus ou moins vaseux.
LA BANDE-ANNONCE
Film américain de John Moore avec , , (1 h 36).
Le premier [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] film de la série, assez brillamment réalisé par , reposait sur un postulat ludique. Un héros positif, enfermé dans une tour ultramoderne, combattait de cupides et brutaux mercenaires étrangers. L'influence qui s'y distinguait était celle des films asiatiques d' martiaux notamment (qu'Hollywood pille et recycle depuis cette époque) et celle du dessin animé.
Dans ce cinquième volet, on devine que, dans la plupart des , les comédiens ont évolué devant des [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] fonds verts, mimant un certain nombre de gestes auxquels des infographistes ont [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] donné un contexte. Plus de vraies et de réels hélicoptères, simplement des [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] images de synthèse greffées à une chorégraphie abstraite minutieusement réglée.
: Belle journée pour mourir donne l'occasion au spectateur indulgent de réfléchir un peu sur une certaine évolution du d'action américain. Le policier new-yorkais John McLane (Bruce Willis qui s'autoparodie) part en [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] pour de son fils de prison.
Comme dans les cartoons de , c'était une réjouissante orgie de destruction qui, au-delà de toute vraisemblance, remplissait les deux heures de la projection. Et comme dans les dessins animées, [url=http://www.avisemos.com/item/115288]abercrombie milano Tips For Setting Up Singapore C[/url] le héros prenait des coups, encaissait divers [url=http://www.hollisterhanesmorgan.co.uk]hollister uk[/url] mauvais traitements, et se relevait, [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] intouché, comme invincible. Les corps de cinéma sont désormais indestructibles.
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Die Hard [url=http://www.otsu.ed.jp/ktt-e/bbs/bbs.cgi/bbs.cgi%20%20%20%20%20%20%20%20%20no%20dia%2019/06/2013%20%C3%A0s%2017%3A44%3C/h2%3E%3C/td%3E%20%20%3C/bbs.cgi]woolrich outlet Social Market[/url] : Belle journée pour mourir poursuit évidemment cette veine (même la xénophobie demeure) à ceci près que, dans les premiers films de la franchise, les décors [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] démolis étaient de véritables décors et les prouesses physiques, même si elles étaient truquées, étaient authentiques.