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Trois risques demeurent, qui pourraient s' cette fragile construction. D'abord, celui de la santé des banques, [url=http://www5e.biglobe.ne.jp/~yariko/yybbs/yybbs.cgi]tiffany Y a-t-il un petit déj[/url] qui ne financent plus l'économie. Un échec des plans d'austérité espagnol et italien qui mettrait en péril les finances des derniers pays aux saines, et enfin un dérapage politique majeur, conséquence de la vague de misère et de pauvreté qui s'abat comme [url=http://namioto.com/bbs2/joyful.cgi]www.vivid-host.com/barbour.ht[/url] une nouvelle peste sur le continent. Angela Merkel avance à son rythme. Mais elle avance.
En dépit de tous leurs cafouillages, les politiques ont fini par . En janvier 2012, les marchés et nombre d'économistes pariaient sur un "eurogedon", conséquence d'un "grexit". Autrement dit, une éclatement de l'euro, conséquence d'une sortie de la Grèce, et des difficultés en cascade sur l', l' et d'autres (la France...). Rien de tout cela ne s'est produit. Les Européens ont avancé de leur dr?le de pas et ont re?u l'appui décisif du gouverneur de la Banque centrale européenne, , qui a affirmé cet été que l'euro était "irréversible".
Ce faisant, la chancelière prend un risque politique, à moins d'un an d'élections majeures, tout en se [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] rendant à une évidence martelée par tous les experts : la ne s'en sortira pas si l'on n'efface pas une bonne partie de sa dette. Les investisseurs privés l'ont déjà fait, restaient les Etats européens, dont l', premier créancier d'Athènes. Ce faisant, la [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] chancelière rappelle une autre évidence [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] : le temps politique, celui des chefs de gouvernement de la zone [url=http://www.vill.tabayama.yamanashi.jp/cgi-def/admin/C-002/bb1208/visit/main.pl?PAGE_NUM=1]giuseppe zanotti pas cher Ess[/url] euro, n'est pas celui des marchés. Ces derniers n'ont pas besoin de l'acceptation de millions d'individus pour leurs décisions. Les Etats, surtout quand il s'agit de l'imp?t, si. Comme le soulignait déjà [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] Richelieu, la n'est pas l'art du possible, [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] mais celui de possible ce qui est nécessaire. Ce qui est nécessaire aujourd'hui, c'est de à la fois la Grèce et [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] la zone euro.
un tabou. Dans le quotidien Bild, elle laisse que l'hypothèse d'un effacement, à terme, de la dette grecque n'est plus à . Cela marque un nouveau tournant [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] dans l'interminable feuilleton grec qui empoisonne l' [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] depuis trois [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] ans. Et un pas de plus vers la consolidation de la zone euro. Le grand quotidien populaire allemand, on s'en souvient, s'était fait, dès le début [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] de la crise, le défenseur du contribuable [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] germanique qui ne voulait pas pour ces imprévoyantes, voire malhonnêtes, cigales grecques. Il paiera.
Progressivement se met en place le seul assemblage à même de l'euro, et donc le projet européen : une vrai banque centrale capable d' de la dette quand les marchés n'en veulent plus, à l'instar de la , qui détient plus de 30 % de la dette britannique, une supervision [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] bancaire solide à l'échelle de l'Union et une coordination des achats de dette, sorte de "Trésor" communautaire.